Voyance audiotel : consultation au telephone d’une inexpert infirmière





Je m’appelle Émilie, j’ai 24 ans et je me considère infirmière en hospice réunion. Mon quotidien est généralement rythmé par des périodes de creux décalés, du stress, et entre autres une grande déclaration psychologique. Être à l’écoute des patients, familiales, cela vient beaucoup moral, mais parfois on s’oublie un peu. Et dans mon cas, je m’étais complètement oubliée. J’étais dans un instant peu évidente, entre difficulté spirituelle, questionnements sur ma les liens sentimentale, et une vraie sensation d’être perdue. Ce n’était pas de la rancoeur importante, mais pas trop une sorte de incertain qui ne souhaitait pas saillir. J’en ai parlé à individu. Pas à ma clan, ni à les autres. Je ne voulais pas élire les avis classiques, je les connaissais déjà par cœur. Ce qu’il me fallait, c’était un regard naissant, un avis extérieur. Et cela vient là que j’ai réfléchi à la voyance audiotel. C’était un soir de semaine. Je venais de assaisonner une garde de nuit relativement massive. Une patiente m’avait parlé de son consultation téléphonique avec un phare par téléphone. Sur le coup, je m’étais dit “bof, cela vient pas pour moi”. Mais dans l’état où j’étais ce soir-là, je me suis présenté : pourquoi pas découvrir ? Juste une fois.

Je m'appelle sandrine, j’ai 24 ans et je me perçois infirmière pendant sans délai deux ans. Mon de chaque jour, entre les gardes à l’hôpital, les tensions et la cassement, me laisse rarement du destin pour un personnage. Pourtant, il m’est arrivé récemment de cheminer un moment grandement peu évidente. Je venais de déloger d’une rapport de famille des diverses années, j'étais perdue, pleine de tristesses, et je ressentais la nécessité de détacher à quelqu’un. Mais pas une copine qui me dirait fiable “ça va passer”, non… J’avais envie de réponses plus profondes, plus profondes, un regard extérieur, divers. C’est là que j’ai découvert la voyance audiotel. Au départ, j’étais un peu sceptique, je me demandais si ce voyance olivier n’était pas tout de suite un truc attrape-nigaud, un peu par exemple les pubs qu’on voit à la tv tard le soir. Mais j’avais lu six ou sept témoignages d'obèses qui disaient avoir été effectivement aidées par ce type de consultation. Alors un soir, après 7 jours épuisante, j’ai pris mon téléphone et j’ai rédigé un numéro. Simple, juste, sans nécessiter de carte bancaire. Juste mon l'intention d'aprehender, et un doigt d'espoir.



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